Patrick et Cyprien

Maréchal-ferrant de père en fils

35 années d’expérience à votre service

ENTREPRISE DUWER § FILS MARÉCHAUX-FERRANTS DIPLÔMES
De la simple ferrure à la ferrure orthopédique, offrez le meilleur à votre compagnon !
Spécialistes des ferrures orthopédique, nous obtenons d’excellents résultats sur les fourbures et toutes autres boiteries.

Le cheval est un périssodactyle, (à nombre impair de doigts) en l’occurrence un seul. En anatomie, le pied du cheval correspond aux deux dernières phalanges du doigt de l’homme. Le pied constitue l’extrémité des membres du cheval et est un élément essentiel de sa locomotion.

« Pas de pied, pas de cheval » : cette expression anglaise traduit le rôle central du maréchal-ferrant. Sans lui, le cheval marcherait à vif.
Les sabots sont des ongles qui poussent en permanence. Il faut donc les nettoyer, les parer (les couper) et les ferrer environ tous les mois. Après avoir retiré l’ancien fer, le maréchal-ferrant « pare » le pied de l’animal, en prenant soin d’enlever l’excédent de corne à l’aide d’un boutoir et d’un rogne-pied. Une fois le fer chaud, il est transformé en semelle, ajusté au sabot, puis cloué ou collé selon l’activité (course, promenade, repos, convalescence…). C’est donc une confection sur mesure. Des fers thérapeutiques ou orthopédiques peuvent être utilisés en cas de pathologie ou de défaut d’aplomb du cheval.

Le maréchal-ferrant participe au bon fonctionnement de l’appareil locomoteur des équidés par un travail approprié sur la boîte cornée. Il protège leurs sabots contre l’usure en posant des fers ou des prothèses, il corrige ou pallie les défauts de conformation, il contribue aux performances sportives ou professionnelles du cheval, il soigne certaines pathologies. Spécialiste du pied et de la ferrure, le maréchal-ferrant adapte la ferrure à la morphologie du cheval.

L’objectif premier du maréchal-ferrant est de permettre au cheval de s’équilibrer dans sa locomotion, en minimisant au maximum les contraintes sur ses pieds.
Le maréchal-ferrant doit posséder de solides connaissances en anatomie, en biomécanique, en forge et en pathologie.
Le maréchal-ferrant, doué d’un grand sens de l’observation, doit également connaître et comprendre les exigences qu’imposent les différentes disciplines équestres, de loisir ou de compétition.